Jour 9 – lundi le 14 juin 2010
Le gars avec qui j’étais supposé passer une entrevue n’avait pas le temps de me rencontrer aujourd’hui. Déception totale. Je reviens à la maison et on me dit que finalement je dois partir le plus tôt possible. J-S et Phil sont déjà partis et je suis ici, sans trop d’argent. C’est bon, je ne veux surtout pas être envahissant. La vie continue et si je suis pour mourir aussi bien me battre jusqu’à la fin. La montagne ne verra pas mon dernier souffle. Je suis sur le point d’être un de ces gars qui ont des millions de choses à raconter. Comme disais un certain Jean Leloup : ainsi va la vie qui va.
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